En tant que présidente et chef de la direction de la Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN), j’entrevois un avenir où la gestion à long terme sûre du combustible nucléaire irradié ne sera plus considérée comme un problème en quête d’une solution, mais au contraire comme un modèle éprouvé de gestion responsable.
Et je suis heureuse de pouvoir dire qu’en 2023, nous observons avec constance le type de leadership qui sera nécessaire à la fois chez nous et à l’étranger pour concrétiser cet avenir.
Plus récemment, j’ai été fière de signer une déclaration d’intention avec le département américain de l’énergie pour coopérer à la gestion du combustible nucléaire irradié. Cet accord favorisera le partage transfrontalier d’informations sur les études scientifiques et techniques, les activités d’engagement et la sélection d’un site basée sur le consentement. Il s’agit d’un pas en avant important pour nos deux nations, un pas qui renforcera le système de partenariats internationaux qui soutient le développement de projets de gestion des déchets nucléaires.
Le mois dernier, nous avons prolongé pour cinq ans notre accord de coopération sur la gestion à long terme des déchets radioactifs et du combustible nucléaire irradié avec l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) de la France. En tant que chefs de file mondiaux de la gestion des déchets nucléaires, la collaboration et l’échange de connaissances entre nos deux pays doivent impérativement se poursuivre pour assurer la réussite de nos projets respectifs et l’avenir de la gestion des déchets nucléaires plus généralement.
Plus tôt cette année, j’ai pris la parole lors de la conférence annuelle de l’Association nucléaire canadienne pour expliquer comment la gestion des déchets nucléaires reste un point fort du Canada. Cette année, la conférence avait pour thème le leadership mondial assumé par le Canada en matière de technologie et d’innovation nucléaires. Ce fut passionnant d’entendre parler de l’impact des projets nucléaires canadiens ici et ailleurs dans le monde, dans des domaines tels que la lutte contre les changements climatiques, la sécurité énergétique et, bien sûr, la gestion responsable des déchets.
De mon point de vue, donc, l’avenir que j’envisage est à portée de main. Et à la SGDN, nous avons récemment publié notre plan de mise en oeuvre, qui décrit les moyens que nous prendrons au cours des cinq prochaines années pour y parvenir.
Mais nous n’y arriverons pas sans vous. Je crois qu’un aspect essentiel d’un leadership fort est l’écoute. Je vous encourage donc à participer en répondant à notre sondage sur le plan de mise en oeuvre afin de nous aider à orienter nos futurs travaux de mise en oeuvre du plan canadien.
Et je suis heureuse de pouvoir dire qu’en 2023, nous observons avec constance le type de leadership qui sera nécessaire à la fois chez nous et à l’étranger pour concrétiser cet avenir.
Plus récemment, j’ai été fière de signer une déclaration d’intention avec le département américain de l’énergie pour coopérer à la gestion du combustible nucléaire irradié. Cet accord favorisera le partage transfrontalier d’informations sur les études scientifiques et techniques, les activités d’engagement et la sélection d’un site basée sur le consentement. Il s’agit d’un pas en avant important pour nos deux nations, un pas qui renforcera le système de partenariats internationaux qui soutient le développement de projets de gestion des déchets nucléaires.
Le mois dernier, nous avons prolongé pour cinq ans notre accord de coopération sur la gestion à long terme des déchets radioactifs et du combustible nucléaire irradié avec l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) de la France. En tant que chefs de file mondiaux de la gestion des déchets nucléaires, la collaboration et l’échange de connaissances entre nos deux pays doivent impérativement se poursuivre pour assurer la réussite de nos projets respectifs et l’avenir de la gestion des déchets nucléaires plus généralement.
Plus tôt cette année, j’ai pris la parole lors de la conférence annuelle de l’Association nucléaire canadienne pour expliquer comment la gestion des déchets nucléaires reste un point fort du Canada. Cette année, la conférence avait pour thème le leadership mondial assumé par le Canada en matière de technologie et d’innovation nucléaires. Ce fut passionnant d’entendre parler de l’impact des projets nucléaires canadiens ici et ailleurs dans le monde, dans des domaines tels que la lutte contre les changements climatiques, la sécurité énergétique et, bien sûr, la gestion responsable des déchets.
De mon point de vue, donc, l’avenir que j’envisage est à portée de main. Et à la SGDN, nous avons récemment publié notre plan de mise en oeuvre, qui décrit les moyens que nous prendrons au cours des cinq prochaines années pour y parvenir.
Mais nous n’y arriverons pas sans vous. Je crois qu’un aspect essentiel d’un leadership fort est l’écoute. Je vous encourage donc à participer en répondant à notre sondage sur le plan de mise en oeuvre afin de nous aider à orienter nos futurs travaux de mise en oeuvre du plan canadien.