La Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) a renforcé notre réseau de partenariats mondiaux en signant des accords importants avec plusieurs partenaires étrangers. Ces accords ont été signés à l’occasion de la Conférence internationale sur les dépôts géologiques (ICGR) qui s’est tenue à Busan, en Corée, au mois de mai.

Lors de cette conférence, la SGDN a consolidé nos partenariats avec l'Autorité britannique de démantèlement nucléaire (NDA), la société finlandaise Posiva, l’Institut coréen de recherche sur l’énergie atomique (KAERI) de Corée du Sud, l’Agence coréenne des déchets radioactifs (KORAD) et l’Institut national de recherche atomique (NARI) de Taïwan. Ces accords visent à permettre l’échange des connaissances, de l’expertise et des meilleures pratiques liées à la gestion à long terme du combustible nucléaire irradié.

« La SGDN est enthousiaste à l’idée de continuer à travailler avec ces organisations de premier plan dans le monde afin de favoriser la coopération internationale sur l’élaboration et la démonstration technologiques et de mettre en commun nos meilleures pratiques en matière de gestion du combustible nucléaire irradié », a déclaré Laurie Swami, présidente et chef de la direction de la SGDN.

L’engagement de la SGDN à établir des partenariats avec d’autres organisations du monde entier et à apprendre d’elles se manifeste également par notre participation active à des projets conjoints. Ces collaborations servent de plateforme pour favoriser l’échange du savoir et pour tirer des enseignements de l’expérience acquise dans les autres pays.

La coopération entre homologues internationaux joue un rôle crucial dans l’avancement de l’élaboration et de la démonstration à l’échelle mondiale de méthodes sûres de gestion des déchets nucléaires, en permettant aux pays participants de mettre en commun leurs expériences et de se tenir au courant des plus récents développements dans la conception des dépôts.

Ces accords font suite à un important accord de coopération signé en 2023 par la SGDN avec le département de l’Énergie des États-Unis, qui s’est ajouté à notre liste croissante de partenaires étrangers, qui inclut nos homologues en Belgique, en France, au Japon, en Suède et en Suisse.