Le plan canadien

Le symposium annuel de la SGDN sur les géosciences met en avant les contributions à la GAP

Le directeur des géosciences et de la recherche en matière de dépôt géologique en profondeur à la SGDN, Mark Jensen, parle au symposium

Mark Jensen, directeur des géosciences et de la recherche en matière de dépôt géologique en profondeur, parle du programme technique de la SGDN au 15e symposium sur les géosciences.

July 20, 2017

Toronto

Le directeur des géosciences et de la recherche en matière de dépôt géologique en profondeur à la SGDN, Mark Jensen, parle au symposium

Mark Jensen, directeur des géosciences et de la recherche en matière de dépôt géologique en profondeur, parle du programme technique de la SGDN au 15e symposium sur les géosciences.

Le 15e symposium sur les géosciences de la Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN), tenu en juin à Toronto, a réuni des spécialistes canadiens et internationaux pour discuter des progrès réalisés dans les géosciences en matière de gestion à long terme sûre du combustible nucléaire irradié. Cette importante réunion permet de mettre en avant les activités géoscientifiques financées et gérées par la SGDN. 

Le symposium a réuni 77 participants, notamment des chercheurs de huit universités canadiennes, des représentants de la Commission géologique du Canada, de l’institut américain U.S. Geological Survey et de la Commission canadienne de sûreté nucléaire et les collègues suisses (NAGRA), finlandais (Posiva) et suédois (SKB) de la SGDN. 

« Le symposium fournit une sélection intéressante des progrès réalisés dans le cadre de notre programme géoscientifique », affirme M. Mark Jensen, directeur des géosciences et de la recherche en matière de dépôt géologique en profondeur à la SGDN. « Il offre un instantané de plusieurs projets géoscientifiques parrainés ici et à l’extérieur, qui contribuent au programme technique de la Gestion adaptative progressive (GAP). »

Parmi les 32 présentations faites au symposium, le personnel de la SGDN a fait le point sur les travaux de la SGDN, y compris la conception technique et l’évaluation de la sûreté du dépôt. De plus, les participants ont appris davantage sur la planification de dépôts en Suède et en Suisse. Quelques présentations techniques ont fait le point sur la recherche appliquée dans l’environnement cristallin du Bouclier canadien et dans la roche sédimentaire. 
 
Des étudiants diplômés dont la SGDN soutient les travaux ont parlé également à ce symposium.
À propos de la SGDN

La Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) est une organisation à but non lucratif chargée d’assurer la gestion à long terme sûre du combustible nucléaire irradié canadien au sein d’un dépôt géologique en profondeur, d’une manière qui protégera les gens et l’environnement pour les générations à venir.

Fondée en 2002, la SGDN est guidée depuis plus de 20 ans par une équipe dévouée de scientifiques et d’ingénieurs de calibre mondial ainsi que par des détenteurs du savoir autochtone, qui élaborent ensemble des solutions innovantes et collaboratives pour assurer la gestion des déchets nucléaires. Le plan canadien ne sera mis en oeuvre que dans une région où les hôtes sont informés et consentants, où la municipalité, les collectivités des Premières Nations et métisses et les autres de la région travaillent ensemble à sa mise en oeuvre. La SGDN prévoit choisir un site en 2024 et deux régions participent toujours à notre processus de sélection d’un site : la région de la Nation ojibwée de Wabigoon Lake-Ignace dans le nord-ouest de l’Ontario et la région de la Nation ojibwée de Saugeen-South Bruce dans le sud de l’Ontario.