Le Canton d’Ignace a confirmé qu’il consent à passer à la phase suivante du processus de sélection d’un site pour un dépôt géologique en profondeur destiné à confiner et isoler de manière sûre et à long terme le combustible nucléaire irradié canadien.
Ignace est la première des quatre collectivités engagées dans le processus de sélection d’un site à faire part de sa décision, qui intervient après plus d’une décennie d’échanges et de concertation avec la Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN).
« Nous félicitons le Canton et ses résidents d’avoir franchi cette étape importante et nous admirons la réflexion et le soin apportés à ce processus et à l’établissement de la vision de ce à quoi le projet pourrait ressembler dans la collectivité », a déclaré Lise Morton, vice-présidente de la sélection d’un site à la SGDN. « Nous n’aurions jamais pu arriver où nous en sommes aujourd’hui sans le leadership et la volonté d’apprendre des résidents des collectivités hôtes potentielles. »
La SGDN a toujours affirmé que le projet n’irait de l’avant que dans une région où les collectivités hôtes sont informées et consentantes, où la municipalité, les peuples autochtones et les autres de la région travaillent ensemble à sa mise en oeuvre.
Le processus de détermination du consentement du canton a fourni de nombreuses occasions à la collectivité de donner son avis sur le projet. Dans le cadre d’un programme en plusieurs phases d’information et de consultation de la collectivité dirigé par un consultant indépendant, un dialogue a été mené directement avec les résidents, des interactions ont eu lieu avec les jeunes et la proposition d’accueillir le projet a été soumise au vote des résidents de 16 ans et plus de la collectivité. De plus, un comité ad hoc bénévole sur le consentement a examiné les résultats des activités de concertation et a donné son avis au conseil municipal sur le consentement de la collectivité à accueillir le projet.
La SGDN continue de travailler avec les trois autres collectivités engagées dans le processus de sélection d’un site afin de comprendre la mesure dans laquelle elles consentent à aller de l’avant. Des discussions sont en cours avec la Nation ojibwée de Wabigoon Lake, dans le nord-ouest de l’Ontario, la Nation ojibwée de Saugeen (composée de la Première Nation non cédée des Chippewas de Nawash et de la Première Nation des Chippewas de Saugeen), et la municipalité de South Bruce dans le sud-ouest de la province, cette dernière ayant annoncé qu’elle tiendrait un référendum municipal en octobre 2024.
En plus de devoir obtenir le consentement des collectivités hôtes potentielles, la SGDN doit avoir la la conviction que le site répond aux exigences rigoureuses de sûreté fixées et que nous pourrons élaborer un plan sûr et socialement acceptable pour le transport du combustible irradié depuis les sites de stockage temporaires actuels jusqu’au site du dépôt. Une fois que nous aurons choisi le site pour le dépôt, nous amorcerons le processus pluriannuel obligatoire d’examen et d’obtention des approbations réglementaires, qui comprendra une évaluation d’impact et la présentation de demandes d’autorisations. Dirigée par l’Agence d’évaluation d’impact du Canada et la Commission canadienne de sûreté nucléaire, l’évaluation d’impact vise à s’assurer que le projet respecte ou surpasse les critères réglementaires rigoureux qui ont été établis pour protéger la santé, la sûreté et la sécurité des gens et de l’environnement.
Press Release
Willingness Ad Hoc Committee Summary
Ignace Report
Ignace est la première des quatre collectivités engagées dans le processus de sélection d’un site à faire part de sa décision, qui intervient après plus d’une décennie d’échanges et de concertation avec la Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN).
« Nous félicitons le Canton et ses résidents d’avoir franchi cette étape importante et nous admirons la réflexion et le soin apportés à ce processus et à l’établissement de la vision de ce à quoi le projet pourrait ressembler dans la collectivité », a déclaré Lise Morton, vice-présidente de la sélection d’un site à la SGDN. « Nous n’aurions jamais pu arriver où nous en sommes aujourd’hui sans le leadership et la volonté d’apprendre des résidents des collectivités hôtes potentielles. »
La SGDN a toujours affirmé que le projet n’irait de l’avant que dans une région où les collectivités hôtes sont informées et consentantes, où la municipalité, les peuples autochtones et les autres de la région travaillent ensemble à sa mise en oeuvre.
Le processus de détermination du consentement du canton a fourni de nombreuses occasions à la collectivité de donner son avis sur le projet. Dans le cadre d’un programme en plusieurs phases d’information et de consultation de la collectivité dirigé par un consultant indépendant, un dialogue a été mené directement avec les résidents, des interactions ont eu lieu avec les jeunes et la proposition d’accueillir le projet a été soumise au vote des résidents de 16 ans et plus de la collectivité. De plus, un comité ad hoc bénévole sur le consentement a examiné les résultats des activités de concertation et a donné son avis au conseil municipal sur le consentement de la collectivité à accueillir le projet.
La SGDN continue de travailler avec les trois autres collectivités engagées dans le processus de sélection d’un site afin de comprendre la mesure dans laquelle elles consentent à aller de l’avant. Des discussions sont en cours avec la Nation ojibwée de Wabigoon Lake, dans le nord-ouest de l’Ontario, la Nation ojibwée de Saugeen (composée de la Première Nation non cédée des Chippewas de Nawash et de la Première Nation des Chippewas de Saugeen), et la municipalité de South Bruce dans le sud-ouest de la province, cette dernière ayant annoncé qu’elle tiendrait un référendum municipal en octobre 2024.
En plus de devoir obtenir le consentement des collectivités hôtes potentielles, la SGDN doit avoir la la conviction que le site répond aux exigences rigoureuses de sûreté fixées et que nous pourrons élaborer un plan sûr et socialement acceptable pour le transport du combustible irradié depuis les sites de stockage temporaires actuels jusqu’au site du dépôt. Une fois que nous aurons choisi le site pour le dépôt, nous amorcerons le processus pluriannuel obligatoire d’examen et d’obtention des approbations réglementaires, qui comprendra une évaluation d’impact et la présentation de demandes d’autorisations. Dirigée par l’Agence d’évaluation d’impact du Canada et la Commission canadienne de sûreté nucléaire, l’évaluation d’impact vise à s’assurer que le projet respecte ou surpasse les critères réglementaires rigoureux qui ont été établis pour protéger la santé, la sûreté et la sécurité des gens et de l’environnement.
Press Release
Willingness Ad Hoc Committee Summary
Ignace Report